vendredi 23 décembre 2011

lundi 5 décembre 2011

lundi 28 novembre 2011

Onde bleue ?

Ah ! Ah !

dimanche 27 novembre 2011

Vivement l'avenir !

samedi 8 octobre 2011

Pêle-mêle...



mardi 13 septembre 2011

De l'art de mettre en retard des milliers de personnes...

Ce matin, je me suis demandé ce qui allait encore bien pouvoir m'arriver, car depuis hier, la poisse me picore. Je n'ai pas tardé à obtenir une réponse... Alors que j'attendais le train pour aller travailler, j'observais le passage à niveau de la gare. Je ne peux même pas dire que j'en aie été surpris, car cela a lieu presque chaque jour : deux voitures étaient arrêtées sur les voies, attendant que celles devant elles veuillent bien avancer. Je me suis dit : "Non, ces crétins se sont engagés sur la voie en voyant bien que c'était bouché de l'autre côté !" C'était l'heure de pointe autant pour les voitures que pour les trains. Ce qui devait se produire est arrivé : le passage à niveau s'est baissé. L'une des deux voitures a eu le réflexe de reculer, mais la première est restée sur la voie... Horreur, un direct vers Paris arrivait : ignorant le problème : il a ralenti au dernier moment ; la Police, sur place par hasard, avait fait ranger la voiture sur l'autre voie. Sauf que mon train était annoncé deux minutes après le direct Paris, sur l'autre voie... Je me suis demandé si quelqu'un avait eu la présence d'esprit de prévenir le Chef de gare, et dans le doute, je suis allé le voir : "Vous savez qu'il y a une voiture en plein sur la voie ?" Il a bondi de son siège et a couru, téléphone à la main, vers le passage à niveau.
Fort heureusement, et presque par hasard, l'accident a été évité de justesse. Je pensais naïvement qu'un passage à niveau aussi fréquenté, ayant déjà causé des morts, serait surveillé, ne serait-ce que par une caméra. Mais non. J'ai encore du mal à comprendre comment deux conducteurs ont pu choisir de s'engager sur une voie de chemin de fer, à une heure très fréquentée, plutôt que d'attendre de leur côté que la route se dégage de l'autre. Quel gain de temps espéraient-ils ? J'espère que ce conducteur aura de gros ennuis : il aura mis en retard des milliers de voyageurs par son égoïsme et son inconscience du danger.

jeudi 18 août 2011

Vous mangez de ça, vous ?

Juste un peu de sel et que le bal commence !

vendredi 29 juillet 2011

Les joies des petits travaux...

Aujourd'hui, j'ai changé le robinet de la douche pour installer un joli mitigeur tout moderne. Mais avant d'y arriver, j'ai dû percer l'enduit qui scellait les arrivées d'eau : voilà ce qui en est sorti !

dimanche 10 juillet 2011

mercredi 29 juin 2011

Perles du brevet 2011...

Question : Sur quoi le narrateur insiste-t-il avec le mot "désespérés" ?
Réponse : "Il insiste sur la désespération des prisonniers".

Question : Comment les prisonniers se comportent-ils face au narrateur ?
Réponse : "Quelqu'un lâche un pet, pour l'autre, c'est pas agréable".

Question : Expliquez la formation du mot "désespérés".
Réponse : "Le mot désespérés est formé de 4 syllabes et de 5 voyelles".

Question : Expliquez le sens de l'expression "avec une courtoisie d'ours".
Réponse : "Il a une courtoisie d'ours car il est peut-être un peu sale et poilu comme un ours".

Question : Quel est le sens de l'expression relevée ?
Réponse : "Le sens de l'expression relevée se rapporte à citer différents éléments ou objets se rapportant à un thème précis".

Question : Quel est le niveau de langue employé dans ces phrases ?
Réponse : "Le registre familial".

Rédaction : "Si tu n'arrêtes pas tout de suite de faire tes conneries, je t'envoie en pension en Alaska".

Rédaction : "Je suis pénétré dans une histoire assez douloureuse".

lundi 13 juin 2011

Quand l'avenir fait loi...

Depuis quelques années, j'observe autour de moi, dans les familles, dans les lieux publics, dans les salles de classe, un phénomène de plus en plus prononcé et inquiétant.

La place de l'enfant a fortement évolué ces dernières décennies, et l'on est passé très rapidement de l'enfant-adulte-miniature à l'enfant-roi. L'enfant-roi, c'est celui qui décide de tout, celui qui concentre toute l'autorité dans ses mains : parce qu'il est senti comme naïf, fragile et qu'on lui porte une affection sans borne, de nombreux parents préfèrent aujourd'hui aller dans son sens et éviter la confrontation. Par idéologie (mauvaise lecture de Dolto) ou fatigués de lutter, ils ont fait le choix de laisser leurs enfants décider de tout ce qui doit arriver dans leur vie : alimentation, loisirs, travail à l'école, relation aux autres. C'est ainsi que, de plus en plus souvent, nous voyons des enfants incapables de répondre à toute forme d'autorité, encouragés par des familles qui ne comprennent pas d'où vient l'angoisse de leurs chers petits. Ces enfants sont ceux qui refusent qu'on leur refuse et ne sont plus habitués à se soumettre à une autorité qu'ils ne jugent pas compatible avec leur désir. L'erreur des parents survient au moment où l'enfant commence à prendre conscience de lui-même, à agir consciemment et à parler pour obtenir : jusque là accoutumés à transférer uniquement leur affection à l'enfant, les parents ne sentent pas au bon moment la nécessité de frustrer l'enfant. Lentement les habitudes s'installent et l'on arrive vite à l'adolescence, où soit les parents s'étonnent que tout explose, soit ils continuent d'aller dans le sens de leur progéniture et deviennent leurs "meilleurs amis".

Parents : frustrer, contrarier, vexer son enfant, ce n'est pas le torturer ; c'est lui inculquer, progressivement, la nécessité des règles dans un contexte social. Evidemment, il s'agit de donner du sens à l'autorité, donc d'expliquer à l'enfant la raison de certains refus : mais en aucun cas la démission pour quelque raison que ce soit ne permet à un enfant d'acquérir les valeurs nécessaires à la vie en société. Ne pas lui transmettre cette éducation essentielle, c'est prendre le risque de créer une bombe à retardement qui explosera à votre figure et à celle de toute la société. Cette éducation est commune à presque tous les mammifères : c'est parce que l'humain ne naît pas armé pour affronter le monde hostile qui l'attend que l'éducation des parents est si essentielle. N'attendez donc pas que d'autres la fassent à votre place, car ce sera soit trop tard, soit mal fait.

Symptomatique, l'image dans l'enfant dans la publicité, à destination des parents, et des enfants...

mercredi 25 mai 2011

Sous-préfecture en-dessous de tout...

J'ai eu le plaisir de me frotter une nouvelle fois à l'administration d'Etat dans toute sa splendeur. Je devais demander, par procuration, une carte grise, chose assez ordinaire, s'il en est.

Episode I : Vendredi, premier jour, je me rends à la sous-préfecture de Sarcelles. Serveur informatique en panne, une employée à l'accueil, après à peine dix minutes d'attente, regarde les pièces de mon dossier, qui est complet. Elle valide, garde les pièces et m'affirme que le bénéficiaire recevra la carte grise le mercredi suivant. Le jour arrive, grosse enveloppe dans la boîte, je me dis : "Chouette, ça a été rapide". Sauf que, idée saugrenue, j'ouvre l'enveloppe... Le dossier complet m'est retourné, avec un papier :"Manque l'attestation récente de contrôle technique". Je ne comprends pas, j'avais présenté ledit papier à l'employée qui m'avait affirmé qu'il n'y en avait pas besoin.

Episode II : Vendredi, deuxième jour, une semaine plus tard. Je retourne à la sous-préfecture. J'arrive : bonheur, personne au guichet, la salle d'attente est archi-pleine de monde ; je prends un ticket de manège, quatre-vingt dix personnes avant moi, on se croirait chez Disney. Neuf guichets, deux ouverts... Un panneau affiche une attente d'environ deux heures. Je prends mon mal en patience et commence à corriger des copies. Une heure passe, puis une autre. Plus que quarante personnes. J'appelle mon administration pour faire déplacer une heure (hé oui, je bossais juste après), histoire de ne pas avoir attendu autant en vain. Une heure passe, toujours trente personnes avant moi ! Trois heures et je ne suis pas passé, j'abandonne, je suis attendu. Je donne mon ticket à un couple de petits vieux, très contents de gagner deux heures.

Episode III : Mercredi, troisième jour. Je connais tellement bien le chemin de la sous-préfecture que je dors en marchant. Un coup d'oeil sur la salle d'attente : a priori, peu de monde. Le ticket m'indique une quarantaine de personnes avant moi. J'attends trois quarts d'heure et on m'appelle : "427 !" Chiffre dorénavant mystique. L'employée, mi-humaine mi-robot, observe mon dossier, je lui explique que je viens pour la troisième fois, qu'on a refusé la première fois le papier du contrôle technique... Et alors, ô enchantement : "Je ne sais pas pourquoi on vous a renvoyé le dossier, la vignette du contrôle technique est bien collée sur l'ancienne carte grise". Je le lui ai fait répéter, juste pour le plaisir.

lundi 9 mai 2011

De l'art de plumer les gogos.

Samedi soir, petit verre entre amis dans le centre, un bar que ne nommerai pas (commence par un CA- et finit par -CTUS). Serveuse plus ou moins agacée de notre nombre et de notre tendance à rester un peu trop longtemps (moins d'une heure, c'est vrai, c'est intolérable). Vient le moment de l'addition. Je demande à la gentille serveuse de nous apporter l'addition. Elle revient et annonce un chiffre oralement : "42 euros". L'un lui règle directement son verre, sachant combien il coûte. Les autres commencent un sketch bien connu : chacun met ce qu'il doit, et parfois un peu plus. Sauf que le montant ne suffit pas pour combler la charmante serveuse, qui revient, hargneuse, deux ou trois fois à la charge, "Bon alors, vous avez réussi ?" Nous finissons, devant ses insistants assauts et ne tombant pas d'accord, par demander l'addition papier, comme je l'avais fait au départ. Elle souffle, retourne à son comptoir, revient avec une note griffonnée à la main. Détail des verres, prix en face, et total. Les verres correspondent, les montants sont ceux sur la carte, mais, et je l'avais deviné, le total est surévalué de plus de sept euros. Je me lève, d'autant plus agacé qu'elle nous a pris pour des imbéciles en demandant si on allait finir par arriver à compter, et lui indique que le total n'est pas juste. Re-soufflage, elle va voir son barman en affirmant : "J'ai dû oublier de noter quelque chose". Les minutes passent, elle calcule toujours, l'un de nous va la voir, et basta. Elle ne revient certainement pas pour s'excuser de l'erreur et du temps qu'elle nous a fait perdre. Qu'on me croie ou pas, ce genre de pratique est très courant dans les grandes villes, et notamment à Paris où je l'ai constatée plusieurs fois. Les serveurs profitent du grand nombre de clients, heure de pointe, ambiance détendue (donc les clients n'ont pas envie de faire un scandale) pour se tailler un pourboire dans la confiance du client.

vendredi 15 avril 2011

L'art d'en rire...

dimanche 20 mars 2011

Là où le roi siège seul.

Tron : l'Héritage est un vrai petit bijou graphique : c'est le premier film en 3D que je vois où la 3D n'est pas un accessoire, mais quasiment une fin en soi. Il est vrai que le thème du film s'y prête particulièrement bien. L'image de synthèse aussi a progressé : j'ai mis une dizaine de minutes à réaliser que Clu ne pouvait être joué par un acteur réel, et que c'était de la synthèse. L'histoire en soi ne défriche pas une forêt amazonienne, mais elle est cohérente, sans temps mort inutile, et tout public. Certaines trouvailles par rapport au film d'origine sont impressionnantes et plusieurs personnages valent le détour. A conseiller donc !

mercredi 9 mars 2011

"La Moche à merde".

En réponse au récent sondage...

J'écris envers celle
Qui en tous appelle
La peur et la haine
Espérant bien que
Ma rime la peine.

mardi 8 février 2011

Araignée du soir...

Voici ce qui se promenait au plafond de ma chambre la semaine dernière. On ne se rend pas bien compte de la taille de la bête, mais elle faisait cinq centimètres. Je l'ai capturée, sans la blesser, et l'ai éjectée dehors, non mais !

jeudi 3 février 2011

jeudi 6 janvier 2011

Cosmos 1999...